Comité Départemental de la Randonnée Pédestre d'Ille-et-Vilaine
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TEXTES DE MICHEL SERRE ©
AMBASSADEUR SUR LA GRANDE RANDONNÉE VERS PARIS
PHOTOS FFR 35 ©
Passation entre le Morbihan et l'Ille-et-Vilaine à Plélan-le-Grand
Forêt de Paimpont, acte 2
Aujourd'hui, nous rechaussons nos bottes de 7 lieux pour arpenter les sous-bois détrempés de Brocéliande.
Nous sommes accompagnés jusqu'à mi-parcours de 2 joëlettes, fauteuils munis d'une roue unique et de 2 brancards permettant de véhiculer une personne en situation de handicap.
Pas facile la manœuvre sur un terrain plat et sec mais là, les conditions vont complexifier le problème du transport. Plusieurs personnes se relaient pour transporter les personnes handicapées.
Les chemins sont creusés par des ornières et sont transformés en pédiluves, pataugeoires, voire en piscine au vu de la pluie de ces derniers jours.
Dans un premier temps, les randonneurs précautionneux tentent de préserver en état de propreté leurs chaussures.
Pour cela, ils évitent les flaques, marchent sur les bas-côtés.
Attention aux dévers ! Le sol est glissant et rapidement on assiste à des glissades sur les fesses, heureusement, sans gravité. Quelques passages à gué. La voie n'est pas royale pour les joëlettes. Les brancardiers prennent le parti d'aller tout droit sans plus se préoccuper de l'état de leurs chaussures.
Flic, floc dans les flaques.
Nous avançons à petits pas dans le ruisseau du Pas Malade.
Flic, floc dans les flaques.
Attention aux faux pas ! Malheureusement, Nathalie, randonneuse depuis Guerlédan et dont c'était la dernière étape, se voit contrainte d'abandonner en raison d'une entorse à la cheville.
Allo Jean-Paul, allo Didier ? Nous sollicitons un véhicule d'assistance.
Saint-Péran, arrêt buffet.
Les joëlettes arrivent sous les ovations des randonneurs.
L'après-midi, nous quittons la forêt de Paimpont pour suivre le cours du Serein.
Cette étape bien que très aquatique se déroule dans un environnement très varié : forêt, blocs rocheux, ruisseaux impétueux.
Et puis nous prenons de la hauteur, de l'altitude. Nous rejoignons la Croix du chemin de Roveny dans son écrin jaune composé de fleurs d'ajoncs.
Nous admirons le panorama avec en point de mire les immeubles de Rennes.
Nous entrons dans le bourg de Monterfil avec en tête les 3 ambassadeurs d'Ille-et-Vilaine, Olivier, Robert, mes 2 nouveaux collègues, et moi.
Parmi nous, se trouve aussi Monsieur le Maire de Monterfil qui a effectué la totalité de la randonnée avec nous.
Nous arrivons à la salle polyvalente pour partager un pot de l'amitié.
Nous sommes rincés, lessivés mais heureux d'avoir participé à une telle journée.
Demain sera un jour de repos bien mérité
. 
Monterfil/Saint-Gilles
Ce matin, au départ de Monterfil, les randonneurs sont accueillis en grande pompe, taille 48.
Les VIP's nous reçoivent pour saluer l'évènement, remercier et encourager les 113 randonneurs.
Se succèdent au micro Raymonde Présidente du comité 35, Michel Duhault maire de Monterfil et Claudia Rouaux, députée et conseillère régionale.
Maître mot : bouger pour lutter contre la sédentarité.
Mot d'ordre comprit et intégré par nos randonneurs qui vont s'y employer dès à présent.
Top départ !
Nous quittons Monterfil sous un ciel radieux et somme encadrés par une solide équipe des Sentiers de la Vaunoise, sous la direction de Pierrick et Richard.
Pour rejoindre le pique-nique à Talensac nous suivons le GR Pays de Brocéliande. Le sentier GR Pays, dont le balisage est jaune et rouge, est généralement plus petit que son frère le GR et il est souvent en boucle.
A Talensac, nous nous apprêtons à pique-niquer sous le soleil mais la pluie va contrarier nos plans.
Heureusement, la mairie a mis à notre disposition une petite salle.
Tous à l'abri !
Un rayon de soleil et on repart.
Nous longeons les berges de l'étang de Guern et son magnifique moulin.
Bon, on batifole, on baguenaude mais attention : traversée d'une route passante. Consignes de sécurité par l'animateur en chef.
On s'échelonne tout au long du bas-côté de la route pour traverser ensemble à son signal.
Technique de la traversée en râteau.
La route est libre, l'animateur donne de la voix.
À l'unisson et d'un pas décidé, nous franchissons la chaussée.
Félicitation pour ce magnifique râteau qui lui vaut une note artistique de 8 sur 10 attribuée par Jean-Paul, responsable sentier du comité 35 et juge presque impartial.
Nous arrivons à Saint-Gilles sous un très joli ciel de traîne et somme accueillis par Loïc Lemaître, conseiller délégué à la Vie Sportive et Maria Jézéquel, déléguée à la Vie Associative à la mairie.
Aujourd'hui, les ambassadeurs plénipotentiaires ont assuré leur mission avec brio.
Nous pouvons, derechef, partir nous reposer avec le sentiment du travail accompli.
Saint-Gilles/Rennes
Au programme du jour, une rando urbaine traversant quelques communes de Rennes Métropole.
Mais tout d'abord, le plaisir de retrouver mes amis de club, les Pelous de Veyettes, avec lesquels, je pratique la marche Audax.
"Les Pelous de Veyettes" signifie, en gallo, les coureurs de chemin.
Aujourd'hui, nous ne courrons pas mais marcherons d'un bon pas.
Bien sûr, pas à l'allure Audax qui est de 6 km/h mais tout de même, d'un pas soutenu.
Michel, Jean-Yves et Jean encadreront la sortie avec l'appui d'autres amis du club et avec le soutien du COP (Club Olympique de Pacé).
Sur la ligne de départ,118 participants.
3 groupes ont été constitués car les traversées des villes, routes, ronds-points et autres facéties urbaines nécessitent de la vigilance et un encadrement rigoureux.
2 groupes d'environ 50 personnes ouvriront la marche et un groupe composé de personnes malvoyantes fermeront la marche et suivront un circuit plus adapté à leur handicap.
Ces randonneurs bénéficient du soutien de bénévoles ou sont accompagnées de leur labrador, icône vivante du chien guide. Après quelques kilomètres, petite pause sympa offert par la mairie de Pacé et l'on repart.
Le rythme est soutenu.
22 km avec un dénivelé de 80 m positif et 97 m négatif. Pas le temps de traîner ses guêtres, ça déboule ça décoiffe.
Un pique-nique prit sur le pouce et les affaires reprennent.
Au menu du jour, Pacé, Montgermont, Saint-Grégoire et puis nous atteignons le canal d'Ille et Rance.
Plus rien pour nous ralentir, plus d'obstacles, plus de ronds-points, feux rouge, vert ou orange.
On file, portés par l'énergie collective. L'équipe logistique du comité a modifié l'arrivée de l'étape en raison d'une météo incertaine.
Le complexe sportif de Bellangerais à Rennes sera le final de notre étape.
Hello, Jean-Paul et Didier !
Vous nous attendiez vers 17h. C'est mal nous connaître.
15h30, vous êtes dans notre ligne de mire. Vous vous hâtez afin que l'arche au logo la FF Randonnée soit mise en place.
Indulgents, nous levons le pied afin que le protocole soit respecté.
Ouf ! Tout rentre dans l'ordre.
Nous franchissons la ligne d'arrivée, profitons des rafraîchissements et biscuits.
Quelques minutes après, le groupe des malvoyants franchit, à son tour, la ligne sous les applaudissements des autres randonneurs.
Pot de l'amitié pour les randonneurs et gamelles d'eau pour les braves toutous. Voilà une affaire rondement menée. Demain, nous quitterons Rennes et partirons vers le nord-est en direction du Mont-Saint-Michel.
Rennes / Ercé-près-Liffré
Rendez-vous pour le départ au Parc des Gayeulles, véritable poumon de la ville de Rennes.
La rando du jour sera urbaine avant de poursuivre son chemin à la recherche du GR39 et fera étape à Ercé-près-Liffré.
118 participants sont sur la ligne de départ encadrés par le club Rando Découverte de Saint-Grégoire.
Jean-Paul agite la petite clochette, le petit rituel de départ depuis notre arrivée en Ille-et-Vilaine.
Nous traversons le Parc des Gayeulles avant de franchir la passerelle qui enjambe la 4 voie, rando urbaine oblige.
Coup de téléphone. France Bleue Armorique souhaite faire un interview concernant la Grande Randonnée vers Paris.
Je me prête au jeu et tout en randonnant, j'échange avec Bastien, l'animateur radio, sur cet évènement, mon engagement en tant qu'ambassadeur, les valeurs de la Fédé.
Être interviewé au téléphone tout en marchant au milieu d'un groupe de plus de 100 personnes nécessite de bien se concentrer sur les questions mais plus encore de trouver le rythme respiratoire qui convient.
Quoiqu'il en soit, cette sollicitation, in live, a été un exercice plaisant mais revenons à nos randonneurs.
En arrivant vers Thorigné-Fouillard, nous pénétrons au 9e kilomètre dans la forêt domaniale de Rennes.
Un petit parcours d'obstacles nous est proposé avec au programme le franchissement du ruisseau de Caleuvre ou de troncs d'arbres couchés en travers du GR.
Les mains se tendent pour s'entraider.
Le terrain est boueux, glissant comme à son habitude depuis plusieurs étapes.
En chemin, nous trouvons un étrange abri.
Information prise, il s'agit d'une "cagna", cabane inspirée des abris des poilus de la guerre de 14-18 érigés à l'arrière du front pour se reposer.
Cet abri réalisé par un artiste, Laurent Tixador, est construit avec des matériaux trouvés sur place (terre, bois de châtaignier etc...).
Nous longeons les anciens tronçons aériens d'un aqueduc en pierre.
Ce système de canalisation appelé "la Minette" alimentait tout le nord de Rennes de 1880 à 2013.
Aujourd'hui, l'eau n'y coule plus mais dans cet aqueduc les chauves-souris y ont élu domicile.
L'étape du jour est longue de plus de 28 km mais les points d'intérêt qu'elle offre nous permettent d'avaler les kilomètres sans lassitude.
Nous arrivons à Ercé-près-Liffré dans une salle où Clémentine a préparé une rétrospective et exposition sur les Jeux Olympiques.
Si l'esprit des Jeux est le dépassement de soi tous les randonneurs du jour méritent une médaille.
Ercé-près-Liffré/Chauvigné
57 randonneurs ce matin au départ de Ercé-près-Liffré. Petit effectif.
Certains randonneurs auraient-ils été dissuadés par une météo peu engageante ? Les absents auraient-ils eu raison ? Départ sous la pluie.
Capes, vestes, nous sommes engoncés dans nos habits que nous ne découvrirons pas d'un fil en ce mois d'avril.
Les intrépides randonneurs trépignent dans l'attente du tintinnabulement de la clochette bretillienne ("les bretilliens", nom donné en 2013 par le Conseil Général et créé à partir du mot "breton" et "illien" désigne désormais les habitants du département d'Ille-et-Vilaine).
Go ! Les candidats à l'émission Koh-Lanta s'élancent pour une étape à haut risque.
2 km d'échauffement et nous pénétrons dans la forêt domaniale de Saint-Aubin-du- Cormier.
Quand on sait que la boue 100% naturelle est idéale pour hydrater la peau et soulager les raideurs articulaires, la rando est de ce fait un merveilleux élixir de jouvence. Des soins gratuits, sans ordonnance et qui ne creusent pas le trou de la sécu.
Bouger dans la boue, un double effet kiss-cool garanti.
À la joie et l'allégresse des participants à patauger dans la gadoue comme des jeunes enfants, vont succéder l'inquiétude et les interrogations à l'approche du Couesnon, ce petit fleuve côtier qui traverse les départements de l'Ille-et-Vilaine, la Manche et la Mayenne.
Le Couesnon qui dans sa folie a mis le Mont-Saint-Michel en Normandie, jouera-t-il une fois de plus un mauvais tour aux bretons ?
La descente vers le Couesnon devient très périlleuse en raison de la forte pente et de l'état du chemin.
Quelques randonneurs chutent, heureusement sans gravité.
Des randonneurs plantent leurs bâtons dans la pente, se crispent et parfois se tétanisent.
De nouveau, l'entraide des randonneurs permet de vaincre les obstacles.
Nous allons suivre le Couesnon durant 3 km à un rythme très ralenti.
Enfin nous allons trouver un chemin plus ferme en traversant la passerelle au Passage des Intrépides, en la circonstance, nom tout à fait approprié. La route est encore longue jusqu'à Chauvigné mais nous avons vaincu le mauvais sort, réussi nos épreuves.
Après presque 25 km, nous franchissons en groupe la ligne d'arrivée en groupe et contrairement à Koh-Lanta, aucun candidat n'a été éliminé.
Chauvigné/forêt Villecartier
Que du beau monde au départ de Chauvigné, Monsieur le maire qui accroche un nouveau ruban sur le bâton du randonneur, un représentant de la DRAJES Bretagne (Délégation Régionale Académique à la Jeunesse, à l'Engagement et au Sport) qui donnera le départ de l'étape et une flopée de scolaires, primaires et même maternels pour nous accompagner durant quelques centaines de mètres.
Olivier, notre ambassadeur brétilien, cumule, en ce jour, un autre mandat en tant qu'animateur des clubs de Chantepie, les Baladapats et Retraite Rando Découverte, il encadrera cette étape.
Au micro, il énonce les règles de sécurité aux 60 randonneurs :
* ne pas dépasser l'animateur à l'avant
* marcher du même côté de la route que l'animateur
* traverser les routes uniquement à son signal.
Bref, l'animateur en chef à toute autorité pour mener la randonnée, sans oublier le rôle important du serre-file et des animateurs disséminés dans le groupe de randonneurs, reconnaissables à leur gilet fluo.
Tout ce beau monde ayant été présenté, nous pouvons démarrer.
"ding, ding", la petite clochette.
Les scolaires nous précèdent et nous nous acheminons de notre lieu de départ jusqu'à l'église.
Après avoir fait nos adieux aux élèves, on poursuit le long du GR39 dans les mêmes conditions que les jours précédents à savoir, chemins boueux et glissants mais aujourd'hui, nous bénéficions de larges et belles éclaircies.
Nous piqueniquons près du lavoir de Tremblay.
Les randonneurs se répartissent par petits groupes pour se poser dans l'herbe, sur un rocher et profiter de cet instant de répit. Nous aimerions musarder, lézarder plus longtemps mais il est temps de reprendre le collier.
"ding, ding" la petite clochette.
En avant marche !
Nous traversons Antrain, nouvellement nommée Val-Couesnon et pénétrons dans la forêt domaniale de Villecartier dans laquelle sont disséminées quelques stèles à la mémoire des chouans fusillés par les républicains en 1796.
Un peu plus loin, la forêt porte les stigmates d'une histoire plus récente : les incendies de 2020.
Troncs calcinés, végétation rase et parcelles reboisées.
Marcher dans ce décor nous fait prendre conscience de la puissance destructrice du feu.
Après le feu, l'eau.
Nous passons à gué un dernier petit ruisseau.
Nous parvenons à notre destination finale, le site de l'accrobranche de la forêt de Villecartier.
Nous avons effectué une étape d'environ 28 km et aucun randonneur ne semble décidé à grimper aux arbres.
Nous préférons partager un pot de l'amitié et chacun regagne son moyen de locomotion en se disant que demain sera la dernière étape d''Ille-et-Vilaine qui nous mènera jusqu'au Mont-Saint-Michel.
Trans- la-Forêt/Mont-Saint-Michel
Dernière étape en Bretagne. Arrivée au Mont-Saint-Michel en Normandie.
Ok, ok, le Couesnon a mis le Mont en Normandie oui mais il le rendra au breton.
Pas de querelle de clochers, l'heure n'est pas à la polémique mais à la rando. Regroupement des bretons à Trans-la-Forêt.
L'équipe se renforce des ambassadeurs du Morbihan qui viennent en nombre pour la transmission du bâton du randonneur aux normands.
Entre quelques QR Codes et l'heure du départ, nous avons le temps de visiter, à pas de charge, la maison du sabot, "Oté du sabiao" en gallo.
Cet espace est l'ancien atelier du dernier sabotier de Trans-la-Forêt, Ferdinand Laillé, transformé en un espace muséographique moderne et interactif.
Toutefois, nous ne chausserons pas les sabiao pour l'étape du jour longue de 23 km.
L'heure du départ approche. Dernier tintinnabulement bretillien.
Les chronos se déclenchent et nous filons à l'assaut du Mont-Saint-Michel.
L'étape ne présente aucune difficulté et nous aurons un dénivelé négatif 2 fois plus important que le dénivelé positif (175m de négatif contre 86 m de positif).
Particularité de cette étape : très rapidement nous verrons notre arrivée, le majestueux Mont dont la silhouette se dessine et tel un amer, nous le prendrons en ligne de mire.
Nous avalons les kilomètres en roues libres et arrivons rapidement à Pontorson pour le pique-nique.
Nous retrouvons sur le site d'autres ambassadeurs et équipe logistique du Morbihan ainsi que nos collègues de la Manche avec qui nous ferons route commune jusqu'à la Caserne, lieu d'arrivée, proche du Mont-Saint-Michel.
Nous partageons un pot de l'amitié avec l'ensemble des randonneurs.
Ce pot offert par le comité de la Manche est préparé par Benoît et Patrick ambassadeurs du 50.
Il scelle l'amitié entre bretons et normands qui partagent la même passion : la rando.
Pour le sprint final, la colonne de randonneurs s'organise.
Les normands ouvrent la marche avec en tête 2 porte-drapeaux.
Nous approchons de la Caserne qui appartient au territoire communal terrestre du Mont-Saint-Michel.
Ce lieu dit la caserne fait référence à une ancienne cabane de douanier.
Aujourd'hui, il est contigu au barrage du Couesnon.
Ce barrage a été mis en eau en 2009 et participe au grand projet de désensablement du Mont-Saint-Michel lancé en 1990.
L'arche de la Fédération de randonnée trône sur ce parapet en bois.
Nous n'aurons pas l'honneur de poursuivre jusqu'au pied du Mont mais nous avons une vue panoramique exceptionnelle sur le Mont et la baie.
S'ensuit un protocole des plus protocolaires.
Les discours vont se succéder pour mettre en avant l'évènement de la Grande Randonnée vers Paris, la passation du bâton de randonneurs, le rôle des ambassadeurs.
Les présidents des comités du Morbihan, d'Ille-et-Vilaine, de la Manche, du Calvados vont à tour de rôle prendre la parole ainsi que le représentant de l'UNESCO, ceux de la DRAJES Bretagne, Normandie et du Conseil Général.
Faut patienter avant d'accéder au buffet.
La patience étant la clef du bien-être nous sommes toute ouïe puis avec allégresse nous partageons les agapes en échangeant avec nos nouveaux collègues ambassadeurs.
Demain, journée de repos
Nous lustrerons nos chaussures pour arpenter les terres normandes.
VIDÉO DE GÉRARD HAQUET © MEMBRE DU CODIR FAITE LORS DE L'ARRIVÉE À PARIS :
https://drive.google.com/file/d/1p8FJxFdq-t_QW6yow4pmoH2QVn-0Xfys/view
VIDÉO DE LA FFRANDONNÉE SUR QUELQUES ÉTAPES ET QUELQUES ÉVÈNEMENTS AU LONG DE LA GRVP 2024
https://www.youtube.com/watch?v=JLqDpmfHjC4
